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La vie du violoniste
Italien, Niccolo Paganini (David Garett) est racontée d’une manière comique
telle que le titre du film nous le révèle, Le violoniste du diable. Ce dernier
n’a rien à voir avec son appétit sexuel qui faisait de lui un fameux cureur des
jupons. Le titre qui se rime avec son nome me semble trop beau pour être vraie.
En tout cas, le film s’introduit avec un flash back au passé du maestro
lorsqu’il était entrainé par son père dans une discipline quasiment militaire. Nicollo
grandissait donc comme un jeune violoniste doté d’une technique et capacité
extraordinairement rare.
Dans une soirée du
concert, il présentait un numéro musical mais ses spectateurs se moquent de lui
et n’appréciaient pas sa nouveauté. Il est parti déçu et se trouvait incapable
de payer l’hôtel où il logeait avec une femme de plaisir. Soudain venait se
présentait un certain Urbani (Jaret Harris) qui voulait payer la facture à sa
place. Il vouait qu’il découvrait ce que les gens ne trouvaient pas chez Nicollo.
Il s’agissait de la magie de sa manière de jouer au violon. Il jurait de le
rendre fameux et riche. Sa bonne foi, cependant, portait une condition selon
laquelle Nicollo devait le prendre comme son maître, c'est-à-dire son agent, et
puis qu’il devait se détacher de ses mauvaises habitudes pour se mettre à
l’exercice très strict. Nicollo signait un pacte dans lequel il est sous la
responsabilité de son manager.
Nicollo jouet
partout en Europe et récoltait bien d’argent et de popularité. Toutefois, il
lui manquait quelque chose. Ses concerts réussis n’étaient pas si différent de
les autres concerts antérieurs. Il n’était qu’amené par Urbani à une quête de
la popularité. Tous les vrais artistes et musiciens sont toujours en lutte ou
bien de se réjouir du beau de leur création ou bien de se contenter de ce que
les gens disent d’eux. Ce le point fort de ce film. La popularité de Nicollo ne
le comble pas de ce manque.
La notoriété de Nicollo
est arrivée à Londres où il est inconnu. Un quotidien anglais publiait le
récit de son concert jamais vu à Paris. La famille musicien, John Watson
(Christian Mckay) s’intéressait à l’inviter à convaincre les anglais sur
son génie musical. John Watson, qui étai un imprésario réputé de Londres, par
une correspondance l’invitait jouer à Londres. Il refusait, mais monsieur
Urbani, qui faisait tout pour qu’il aille à Londres et donne l’impression qu’il
s’intéressait à l’invitation de Watson. On y trouve l’intérêt caché d’Urbani
qui voulait se profiter de la réputation de Paganini. Il a du donc forcé le maestro
pour se rendre à Londres. Urbani le faisait partir à Londres malgré sa faible
condition. John Watson y était en attente impatiemment. Ce dernier a tout
sacrifié, même ses biens, pour la réussite du concert.
A peine arrivé, Nicollo
et Urbani étaient accueil par un group de femmes voulant boycotter le concert
sur le prétexte que Nicollo et ses conduits sexuels étaient une menace pour une
fierté morale des anglais. Ici vous pourriez en rire mais si vous connaissez
l’histoire de cette époque, vous vous rendrez compte que cet épisode nous
présent une caricature de l’Europe de renaissance et d’humanisme qui
étouffaient la religion. L'Angleterre était le dernier bastion du spiritualisme
qui voulait se protéger de l'invasion de la Renaissance. A cette époque
que la musique classique atteignait sa maturité. Nicollo et Urbani se
réfugiaient donc chez John Watson.
C’est chez John
Watson que Nicollo tombait amoureux de Charlotte (Andrea Deck), la fille de
Watson. Au début Charlotte le détestait à cause de son tempérament séduisant,
mais plus tard elle aussi allait tomber amoureuse de lui. La musique était le
carrefour de leur rencontre. Un matin, Nicollo était réveillé par une angélique
voix de Charlotte. A son tour, il a reprit la chanson de Charlotte par des
magnifiques sons de son violon. Sa pièce ne trouvait que son âme dans
l’interprétation vocale de Charlotte. Nicollo, grâce à Charlotte, trouvait à se
réjouir du beau de sa création. Ils performait ensuite un extraordinaire duo
qui a satisfait les Londoniens.
Après le concert,
Charlotte était interviewée par une journaliste pour son important rôle non
seulement dans le concert mais aussi dans le réveil du maestro de son sommeil
existentiel. Charlotte à ce titre, dépassait le rôle d’Urbani. Elle était la
véritable agente. Urbani se sentait menacé et puis trouvait la manière
d’éloigner Charlotte de son amant. Il a fait venir une femme de plaisir qui
ressemblait à Charlotte. Ce dernier, entre temps, était invité par Nicollo à sa
chambre d’hôtel. Urbani faisait tout pour que Nicollo ait prit la femme du
plaisir pour Charlotte. Lorsque Charlotte arrivait, elle a découvert que
l’homme que son cœur aimait n’a pas du tout changé. Il n’était qu’un coureur
des jupons. Elle partait pleurer.
La séparation l’a
attristé surtout lorsqu’il n’arrivait pas expliquer ce qui s’était passé. Il
retournait à Vienna avec un cœur tout perdu, comme un violon sans chordes. Il
renvoyait Urbani que ne cherchait qu’à profiter de sa réputation. Il continuait
à garder le contact avec Charlotte par des correspondances. Pour Nicollo,
Charlotte était un testament. Elle a changé toute sa vie. Connu comme un
violoniste du diable pour sa liberté et créativité musicale, Nicollo se
trouvait apprivoisé par Charlotte la charmante. Il n’y pas rien que la musique.
A son essence, la musique est le témoin incontesté de la créativité de l’amour
humain, et pourquoi pas divin. (Tardelly,s.x.)
Libellés : la musique et l'amour
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